Il est minuit et pourtant il fait clair comme en plein jour. Chablis et Chandon sont amoureux mais ils ne le savent pas encore. Chandon a l’intention de déclarer sa flamme ce soir et ce soir l’atmosphère est idéale.
Elles sont huit. Huit statues féminines assisses sur des guérites de Gabriel tout autour de la place de la Concorde. Elles représentent huit villes françaises : Brest, Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Rouen et Strasbourg.
César le lézard a très envie de connaître Paris. Il en entend parler depuis sa plus tendre enfance. Ses parents, ses grands-parents, ses tantes, ses oncles, ses cousines, ses cousins ne parlent que de la capitale. Globalement, toute sa famille est raide dingue de cette ville. Il est le seul, lui le petit dernier, à n’avoir pas constaté de ses propres yeux la beauté légendaire de la grande dame. C’est décidé, ce soir, il fait le mur. Il a préparé son baluchon avec quelques victuailles une gourde d’eau fraîche. Le voilà paré à quitter sa bourgogne natale, son village de Charbuy.
On a cette sensation que ce monument est là depuis toujours et forcément, c’est le plus ancien monument de Paris, même antérieur à la fondation de la capitale. Sa fabrication remonte à la civilisation égyptienne antique. Il est classé au titre de monument historique en 1937.
Lui c’est Roméo et elle Juliette. Ils viennent de Vérone et
visitent Paris pour leur voyage de noces. Ils sont beaux, ils sont
jeunes, ils sont heureux.
Il était une fois, sur la place de la Concorde, dans le 8e
arrondissement de Paris, deux fontaines. Situées de part et d’autre
de l’obélisque de la Concorde, il y a au nord la fontaine des
Fleuves et au sud la fontaine des Mers.
Il fait un temps
magnifique, et pourtant, je me décide pour une visite du musée du
Louvre. Ce n’est pas grand, c’est gigantesque ! Un sacré
programme en perspective. J’emprunte le métro, c’est tellement
plus facile et pratique que la voiture. Je choisis de rejoindre le
musée par l’extérieur pour avoir une vue d’ensemble. Les
boutiques en sous-sol, ce n’est pas trop mon truc. Me voilà donc
dans cette majestueuse cour Napoléon qui accueille une pyramide en
verre toute en transparence qui, à l ‘époque, avait fait
coulé beaucoup d’encre. Finalement, elle est parfaite et ne nuit
absolument pas aux bâtiments alentour.