d’après Gustave Caillebotte (1848-1894) – L’Homme au bain (1884) – Pastel sur papier noir – 30 x 20cm
C’est aujourd’hui le grand jour : Alphonse a son premier rencart avec Amélie.
d’après Gustave Caillebotte (1848-1894) – L’Homme au bain (1884) – Pastel sur papier noir – 30 x 20cm
C’est aujourd’hui le grand jour : Alphonse a son premier rencart avec Amélie.
d’après Michelangelo Merisi da Caravaggio (1571-1610) – Madeleine en extase dite Madeleine Klain (1606) – Huile sur bois – 55 x 46 cm
Marie-Madeleine est inquiète. IL n’est toujours pas rentré. IL avait pourtant promis. IL tient toujours ses promesses.
Pierre noire / Sanguine / Craie blanche sur papier gris – 19 x 14 cm – Original
Cette année, c’est décidé, pour les vacances d’été, nous allons rendre une petite visite à nos amis de Côte d’Armor. Une région magnifique. Une maison ancienne, entièrement en pierres, à retaper de fond en comble.
Huile sur bois – 24 x 33 cm – Original – VENDU
Céleste fille du poète,
La vie est un hymne à deux voix.
Son front sur le tien se reflète,
Sa lyre chante sous tes doigts.
d’après Edouard Manet (1832-1883) – Le chemin de fer (1872-1873) – Huile sur toile – 38 x 46 cm
Modeste a un rendez-vous amoureux ce matin. Elle a emmené sa petite nièce Victoire à la gare Saint Lazare. Le chiot de la petite fille est de la partie. Il s’est endormi sur les genoux de la jeune femme.
d’après Henri de Toulouse Lautrec (1864-1901) – Seule (1896) – Pastel sur papier beige – 13 x 20 cm – VENDU
La solitude vient du latin solus signifiant « seul ».
d’après Caspar David Friedrich (1774-1840) – Le Voyageur contemplant une mer de nuages (1818) – Huile sur toile – 40 x 30 cm
Alors que Gaspard se tient droit sur le haut d’on rocher face à l’immense spectacle des nuages et des monts, il se remémore ces quelques vers de l’Iliade d’Homère : « Seule la vie ne revient pas ; on ne peut la reprendre ni la ravoir, quand elle a des dents franchi la clôture. ».
d’après Edouard Manet (1832-1883) – La Prune (vers 1877) – Huile sur toile – 40 x 30 cm
Comme tous les jours de la semaine, à 19 H 00 précises, Mado fait une entrée presque théâtrale dans mon café. Ce soir elle a revêtu sa robe rose pale légèrement élimée et son chapeau bleu dur. Je l’adore dans cette tenue. C’est mon habituée préférée. Au fait, moi c’est Gaston ! J’ai repris ce bar à moitié miteux à l’époque une bouchée de pain à un type à moitié ivrogne du côté de Montmartre. Et depuis, je me suis toujours efforcé d’un faire un endroit correct, un endroit où il fait bon se retrouver entre amis, un endroit où personne n’a peur de noyer sa solitude.
Inspirée par une miniature indo-persane (Prince tenant une coupe et un flacon – 1640) – Gouache / Aquarelle – 32 x 24 cm
La mort tient en ses mains une grande coupe.
Dans cette coupe pleine il y a le destin.
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